Deuxième journée de la tenue de l’atelier de renforcement des capacités aux femmes et jeunes leaders des partis politiques par l’association icirore c’amahoro à Kinyinya en province de Buhumuza

Deuxième journée de la tenue de l’atelier de renforcement des capacités aux femmes et jeunes leaders des partis politiques par l’association icirore c’amahoro à Kinyinya en province de Buhumuza

Promouvoir la cohésion sociale

Dans le cadre de la mise en œuvre du projet « Promotion de la participation de la femme dans les sphères de prise de décisions et prévention des conflits au niveau communautaire », l’association icirore c’amahoro a organisé pour la deuxième journée, un atelier de renforcement des capacités à l’intention des femmes et jeunes leaders affiliés aux différents partis politiques et l’administration à la base, le mercredi 8 octobre 2025, à Kinyinya en commune Gisuru de la province Buhumuza.

Cette deuxième journée s’est focalisée sur la résolution pacifique des conflits, la médiation et la cohésion sociale. Selon Gabriel Bidogeza qui a dépensé les enseignements, le médiateur qui fait la résolution pacifique des conflits doit être une personne intègre, quelqu’un qui écoute, juste, impartiale, etc. Cette personne doit être guidée par un esprit du discernement des conflits. Pour résoudre les conflits, le médiateur doit savoir la vraie source du conflit.

Les différentes étapes de la résolution pacifique des conflits passent d’abord par l’écoute attentive des parties en conflits un par un. L’écoute doit se faire dans un milieu sûr pour éviter que les autres qui ne sont pas concernés puissent entendre ces conflits. Le médiateur doit confronter les parties en conflit et laisser chacun dire ce qu’il accuse l’autre à sa présence.

Si le médiateur parvient à concilier les parties en conflit, c’est le début d’une bonne cohésion sociale. Une bonne cohésion sociale est comme un ciment qui participe dans la construction d’une maison en dure. La cohésion sociale est caractérisée par l’entraide mutuelle, les bonnes relations, le dialogue, le développement commun, etc.

Rappelons que ce projet est en train d’être exécuté grâce au financement financier de l’ONU Femmes.